Les mésaventures d’un fétichiste des pieds féminins

Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 2 ans

Une journée de cours tout à fait banale commençait. Au programme, des maths, un peu d’histoire et d’anglais puis le repas avant de retourner en cours jusqu’à 17h. Arrivé à 8h au lycée j’ai rejoint mes amis qui étaient déjà tous présents, comme souvent en raison de mon manque de ponctualité. Nous formions une bande d’une dizaine de personnes assez mixte six garçons et quatre filles.

Dans cette bande, il y avait surtout cette fille en particulier, Lilou. Depuis le premier jour où je l’ai croisée, elle m’a tapé dans l’œil. Les cheveux châtain-clair toujours joliment coiffés, de beaux yeux bleus, des joues de bébé, bien maquillée et avec de jolis petits pieds qui me faisaient rêver en tant que fétichiste. Bref je trouvais cette fille très attirante et j’essayais chaque jour de sympathiser un peu plus avec elle, en essayant de ne pas rentrer dans la fameuse « friendzone », c’est à dire le point de quasi-non retour à partir duquel on devient trop amis pour qu’une histoire d’amour puisse survenir.

Revenons à cette fameuse journée, pour le moment, ordinaire. Nous finissions à 17h mais je devais rester jusqu’à 18h à cause des horaires de bus. Lilou était à côté de moi en philosophie où nous faisions régulièrement les idiots car le cours ne nous palpitait pas vraiment. Mais au cours d’aujourd’hui, de 15h à 16h, elle semblait discrète et pensive, comme si elle était soudainement fâchée contre moi.

  • Tu es sûre que ça va ? demandai-je
  • Oui oui. me répondit-elle
  • Tu restes jusqu’à 18h ce soir ? dis-je pour briser le silence
  • Oui. dit-elle froidement
  • Moi aussi, ça te dis qu’on aille en perm’ pour faire la physique pour demain ? proposai-je
  • Si tu veux. conclu-t-elle

J’étais à la fois ravi de pouvoir passer du temps avec elle et inquiet de la voir si distante. Les dernières heures de cours passèrent sans qu’elle ne m’adresse la parole. Sur les coups de 17h, je retrouvai comme convenu Lilou devant la salle de permanence pour faire nos devoirs. Elle me proposa alors d’aller plutôt dans une des petites salles d’en face. C’était une suite de salles de 5m² environ avec une table et des chaises au milieu, réservées aux élèves voulant travailler au calme pour être plus tranquilles. J’acceptai avec plaisir, d’autant que cette volonté d’intimité de sa part me faisait présager de bonnes choses. Nous sommes donc entrés dans une de ces salles qui était vide. Lilou prit le soin de fermer la porte et me demanda sèchement :

  • Bon tu as rien à me dire là ?

Je réfléchis un instant puis eu un flash : c’était son anniversaire et j’avais complètement oublié. Je répondis alors avec honte :

  • Ah oui, bon anniversaire, désolé ça m’était complètement sorti de la tête
  • J’ai essayé de te le faire comprendre toute la journée. Tu crois vriament qu’un pauvre « désolé » suffit ? réagit-elle, vexée.
  • Bah si je peux faire quelque chose pour me rattr a p e r … dis-je gêné
  • Je veux bien que tu me fasses mes exos de physique, merci. accepta-t-elle fermement.

Je m’en voulais d’avoir oublié cette date, d’autant qu’elle en parlait depuis des jours, preuve que cela lui tenait à cœur. J’espérais réussir à me rattr a p e r à travers le service que je m’apprêtais à lui rendre. Je suis donc allé m’installer à table sans dire un mot et me suis au travail. Pendant ce temps, Lilou vint s’asseoir sur cette même table, en face à moi, me regardant ainsi de haut.

  • Dis, le prends pas mal, mais tu serais pas un peu du genre soumis ? demanda-t-elle soudainement.

Mon cœur se mit à s’accélérer. Non pas que j’étais du genre très soumis mais la soumission était un des éléments principaux du fétichisme des pieds, ce qui me mit extrêmement mal à l’aise. C’est avec les yeux écarquillés, après un temps d’hésitation, que je répondis :

  • Ben non, pourquoi tu dis ça ?
  • Je sais pas je te demande un truc, tu le fais. constata-t-elle.
  • C’est que je veux me rattr a p e r d’avoir oublié ton anniversaire. dis-je en cherchant une excuse.

Elle prit alors ma trousse et la jeta par terre en faisant semblant d’être maladroite. Après lui avoir jeté un regard un peu méchant, je suis passé sous la table pour ramasser mes affaires. J’ai agi par réflexe mais une fois à quatre pattes sous la table, je réalisai que je venais de rentrer dans son jeu.

  • Tu vas pas me dire que tu fais pas le soumis là ? demanda-t-elle en ricanant.
  • Je ramasse juste mes affaires. Je veux bien que ce soit ton anniversaire mais ça te donne pas tous les droits. répondis-je, rouge de honte avec une voix tremblante.

C’est alors qu’elle laissa, sûrement volontairement, échapper l’une des ballerines qu’elle avait au pied qu’elle laissait pendre de la table. La chaussure vint tomber juste à côté de moi, accompagnée des excuses naïves de Lilou. Elle me demanda alors « gentiment » de lui remettre, ce que je refusai même si j’en rêvais. Je m’étais fait avoir une fois mais pas deux, d’autant qu’on se rapprochait beaucoup trop de mon fantasme secret.

C’est alors qu’elle se baissa et m’attrapa les cheveux d’un geste de la main, me regarda dans les yeux en disant « C’était pas une question ». J’aurais aimé lui résister mais je craignais beaucoup des cheveux. On aurait dit qu’elle connaissait mes faiblesses. Je lui ai donc remis docilement sa chaussure, ayant mon côté fétichiste en manque. Une fois la chaussure mise elle me dit, d’un ton espiègle « Non en fait enlève la, on va s’amuser ». Comme un idiot, sans réfléchir, j’ai cédé face à elle, tout en imaginant les conséquences que cela pouvait avoir si cela se savait.

  • C’est bien soumis, maintenant baise-moi les pieds. ordonna-t-elle dans un caprice
  • Pardon ? Non mais tu rêves là. dis-je alors que j’étais moi-même comme dans un rêve.
  • Fais-le ou je t’assures que tu vas le regretter … me dit-elle d’un ton autoritaire.

De toute façon il était trop tard, je ne pouvais plus reculer. Je lui ai donc déposé un baiser sur le pied que, une minute auparavant, je préférais éviter de regarder pour ne pas céder à la tentation.

  • Je pensais pas que tu le ferais vraiment, comme quoi tu es encore plus soumis que je pensais … me nargua-t-elle
  • Mais je … tentai-je de me justifier

Pour m’empêcher de répondre, Lilou m’a mis le pied dans la bouche en profitant que je l’avais ouverte pour parler en me disant « Tais toi et lèche » avant de ressortir son pied de me bouche. J’hésitais et puis… non, cela partait trop loin. Je me releva alors, me retrouvant face à elle, rouge comme une tomate. Son regard était insoutenable. Elle me fusillait du regard en pointant son pied du doigt. Je devenais dingue. Pourquoi faisait-elle cela ? Savait elle que j’étais fétichiste ou souhaitait-elle juste m’humilier ?

Impossible pour moi de résister, d’autant que son charme agissait au moins aussi fort de son côté dominatrice. J’ai donc obéit, me suis remis à genoux et sorti ma langue jusqu’à son pied, sans réfléchir. C’était divin. Je savais que les ballerines faisaient particulièrement transpirer et j’en eut la preuve. Bien que la sueur n’étais pas abondante, elle était suffisamment présente pour saler la douce peau des petons que je chouchoutais. J’étais dans un autre monde, je ne me rendais même pas compte que je fermais les yeux de plaisir. J’étais en train de révéler mon fétichisme en acceptant de me soumettre aux pieds de cette jolie filles. Après quelques dizaines de coups de langue, j’entendis Lilou enlever son autre chaussure en se retenant de rire. Elle semblait vraiment amusée de la situation, elle en avait les larmes aux yeux de rire.

Reprenant ses esprits, elle me fixa et me colla v i o l e m m e n t ses 2 pieds au visage : « Allez prends une bonne bouffée d’odeur de mes pieds, soumis ». La sensation d’avoir un pied léché et pas l’autre, un avec ma salive l’autre avec sa sueur, était particulière. L’odeur, quant à elle, était si agréable que j’aurais puis sentir ces bijoux pendant des heures, un mélange de f o r c e et de douceur très appréciable. Comme pour me narguer encore plus, Lilou soupira d’aise très fort. Après quelques minutes de reniflage, elle enleva ses pieds de mon visage et m’ordonna de me coucher sur le dos sous sa chaise et de lui lécher les pieds sans arrêt pendant qu’elle allait faire ses exercices. Il n’était maintenant plus question de résister, j’obéissais simplement et profitais de ces moments d’extase. Je m’exécutai donc et repris le léchage merveilleux que j’avais entamé quelques minutes plus tôt.

Alors que je donnais à peine mes premiers coups de langue, j’entendis la porte de la salle s’ouvrir, c’était le drame ! Quelqu’un allait me voir dans cette posture ! Peut-être un ami, un professeur, un surveillant.. Je me suis débattu pour essayer de me libérer mais Lilou me dit « Tu bouges pas soumis ! » en pressant fort ses pieds contre mon visage afin de m’empêcher de partir. J’entendis alors une deuxième voix féminine que je ne reconnaissais pas.

  • Qu’es-ce que … Expliques-moi là ! dit l’inconnue.

  • Lui ? C’est juste un mec de ma classe qui m’a supplié de le laisser me lécher les pieds, j’ai accepté. Tu veux essayer ? répondis Lilou.

J’étais paniqué ! Peu importe qui était cette personne, elle était au courant, à travers un mensonge, de mon fétichisme ! De plus, les pieds de Lilou m’empêchaient à la fois de répondre et de voir qui était cette fille. Elles se mirent à chuchoter en ricanant, sans que je puisse entendre. Puis Lilou enleva ses pieds, immédiatement remplacés par ceux de cette inconnue, sans que j’ai le temps de voir à qui j’avais affaire.

  • Montres lui comme tu lèches bien les pieds, soumis ! m’ordonna Lilou
  • Pas trop fort, je suis très chatouilleuse hein ! rajouta l’autre.

J’ai donc commencé le nettoyage de ces pieds donc je ne connaissais même pas la propriétaire, en essayant de ne pas me poser trop de questions. C’était vraiment surréaliste. J’ai rapidement pu remarquer que ces pieds-là étaient au moins aussi délicieux que ceux de Lilou. L’odeur était différente mais tout aussi envoûtante, bien que moins forte. Ce qui me frappait le plus était la chaleur qui s’en dégageait. Elle avait dû les enfermer toute la journée dans de grosses chaussures fermées, d’autant que je pouvais sentir quelques peluches de chaussettes sur sa plante.

Je passais avec plaisir ma langue entre ses orteils et parcourrais ses pieds de tout leur long tout en sentant quelques frissons de la part de l’inconnue, sûrement dus aux chatouilles que je lui procurais. J’aurais pu passer des heures et des heures à vénérer ces pieds inconnus, comme si le temps s’était arrêté. Elle finit malheureusement par enlever ses petons au bout de quelques petites minutes. Heureusement, j’ai enfin pu ouvrir les yeux mais mon point de vue, en partie caché par la table et par la contre-plongée, ne me permettait pas d’identifier cette déesse aux pieds sublimes.

Les deux filles ont ensuite décalé cette même table pour se tenir debout à quelques centimètres de ma tête, chacune d’un côté. « On n’en a pas fini avec toi, ferme les yeux jusqu’à nouvel ordre » dit Lilou en riant avec son amie. Une fois aveuglé, je sentis de suite un pied de chaque côté venir titiller mon visage et la bouche. J’en profitais pour y déposer quelques baisers rapides, même si ceux-ci s’avéraient souvent maladroits en raison de ma cécité temporaire. Rapidement, ce furent les 4 pieds qui virent chacun leur tour à ma bouche, pour se faire lécher ou pour entrer dans celle-ci. Parfois j’avais un pied de chaque fille sur le visage en même temps et c’était divin.

J’oubliais tout : la honte, les conséquences, … Chaque coup de langue que je donnais était un réel plaisir. Mais ce qui devait arriver arriva assez rapidement : la sonnerie de 18h retentit. Immédiatement, les filles prirent leurs affaires et partirent précipitamment sans que j’eut le temps de reprendre mes esprits.

Sur le pas de la porte, Lilou le lança « Merci pour le cadeau d’anniversaire, petit soumis. Tu peux rouvrir les yeux ! » avant de partir en vitesse. Le retour à la réalité fut rude. Je n’arrivais pas à réaliser tout ce qu’il venait de se passer. Je me suis péniblement levé, ai repris mes affaires et me suis dirigé vers mon bus, des souvenirs plein la tête.

Depuis ce jour, Lilou continue de m’appeler « soumis » quand on discute tous les deux mais jamais nous n’avons reparlé de ce moment si particulier et tout est rentré dans l’ordre . Quant à la deuxième fille, j’ignore toujours son identité.

Comme quoi les femmes, quand elles veulent s'en donner la pdine, savent bien nous percer à jour. Quant à la seconde, quel plaisir ce doit être de croiser sa victime en sachant qu'elle ne sait pas qui elle est. Le comble du raffinement.
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